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Voyage sous bonne garde en Corée du Nord / Martine Bulard
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Il a fallu deux ans pour obtenir un visa d'entrée en tant que journaliste en République populaire démocratique de Corée. Ce sésame ne signifie pas pour autant liberté de mouvement, ni même choix du programme, et encore moins discussions spontanées dans la rue. A quelques exceptions près, les autorités décident de ce que vous devez voir. Mais elles ne peuvent pas tout cacher...
Voir le numéro de la revue «Le Monde diplomatique, 737, 01/08/2015»
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