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Nucléaire. Une histoire bien triste de mismanagement et d'ingérence politique / Tony Barber
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Pleins feux, en mars 2015, sur la situation paradoxale du géant français du nucléaire Areva. Malgré son statut de leader mondial, l'entreprise rencontre bien des déboires. Une capitalisation boursière en recul, des pertes records à 4,8 milliards d'euros en 2014 et un endettement de 5,1 mds EUR, un imbroglio juridique et politique puisque l'Etat français possède 87% du capital. Dernier exemple en date de l'ingérence politique dans les affaires du groupe : l'éventualité d'une fusion d'Areva avec EDF, l'électricien historique national. Des détails sur le contexte de l'activité nucléaire à l'international d'Aréva mise à mal depuis 2011 et la catastrophe de Fukishima.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1757, 20/03/2015»
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