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Syrie. Les jeunes diplômés boudent le privé / Noura Kamel
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Décryptage, en décembre 2011, de l'impact de la décision du gouvernement syrien de lancer une série de réformes visant à passer d'une économie planifiée et dirigée par l'Etat à un modèle social de marché, sur les embauches des jeunes. Une mutation qui fait suite aux révolutions arabes et qui implique de réduire en partie les effectifs du secteur public, et de donner un rôle prédominant au secteur privé dans la création des emplois et la croissance économique. Jugé plus attractif par une majorité de jeunes syriens, le secteur public offre donc aujourd'hui peu de postes. Le privé quant à lui, recherche pour se développer des qualifications auxquelles ne forment pas encore les universités syriennes. Résultat : peu de jeunes postulent.
Voir le numéro de la revue «Alternatives internationales, 53, 01/12/2011»
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