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René de Obaldia : "Je suis hanté par le mystère du mal" / Laurence Liban
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Poète aux mains pleines d'"Innocentines", romancier débordant de "Richesses naturelles", l'académicien le plus drôle du Quai Conti est surtout un grand auteur dramatique et l'inventeur d'un langage surprenant. Sa profondeur se nomme légèreté, fantaisie, extravagance, audace, liberté... Il nous reçoit dans l'ancien atelier dont il a fait son appartement. Au loin, le clocher de l'église de la Trinité. Une table de bridge, sous la fenêtre, lui sert de bureau. Sur la table basse, des piles de livres.
Voir le numéro de la revue «L' Express, 3142, 21/09/2011»
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