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Bientôt la séparation entre clergé et Etat iranien ? / Ardavan Amir-Aslani
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Pour assurer leur survie face à une population qui les déteste, les clercs chiites ont tout intérêt à prendre le parti du peuple. Le clergé chiite critique désormais publiquement la violence de la répression, et surtout la surdité des autorités face aux revendications du peuple iranien. Les critiques semblent aujourd'hui collégiales et émanent du séminaire du Qom, qui abrite les autorités chiites les plus respectées du pays.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 2153, 27/01/2023»
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