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" Quoi qu'il en coûte " ! la fameuse phrase d'Emmanuel Macron lors de son discours de mars 2020 démontre au moins que le politique n'a pas perdu tout pouvoir. Mais pourquoi faire ? Du jour au lendemain, les avions furent cloués au sol et tous les citoyens confinés ou presque - sauf les soignants et les personnes que l'on découvrit indispensables au fonctionnement du quotidien de la société, en France comme dans de nombreux autres pays du monde lors de la première vague du virus, puis de la deuxième, de la troisième... On apprit s'il en était besoin que le discours officiel n'est pas toujours vrai et que les politiques ne savent pas toujours ce qu'ils font même s'ils ont beaucoup d'aplomb... Ainsi des masques déclarés inutiles lorsqu'ils étaient indisponibles puis indispensables une fois produits à foison, ainsi de la fameuse hydroxychloroquine déclarée inutile voire toxique par une étude publiée par "The Lancet" fin mai que la prestigieuse revue retire début juin pour cause de bidonnage monumental, ainsi du médicament remdesivir de Gilead recommandé par une étude du non moins prestigieux "New England Journal of Medicine" fin mai puis formellement déconseillé par l'Organisation mondiale de la santé en novembre 2020, etc. Alors confinement ou pas confinement ? Masque ou pas masque ? Vaccin ou pas vaccin ? Force est de constater que les spécialistes ne sont pas unanimes et qu'il n'est pas interdit d'avoir un peu de bon sens. Mais surtout : quelle société préparons-nous pour l'après-pandémie ? Garderons-nous le meilleur de la société d'avant la pandémie... ou le pire ? Sommaire. Une épidémie d'épidémies. Pourquoi ? La pandémie et le nouvel ordre numérique. Le local et la pandémie. Pour une société du contact. Le côté obscur de la philanthropie. Les dictateurs numériques.
Voir le numéro de la revue «L' Ecologiste, 57, 01/12/2020»
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