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Soir, un matin (Un) / Véronique Nahoum-Grappe
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En dehors du cercle de l'enfer propre aux faits, l'extrême violence d'une attaque froide et massive, avec explosifs et armes de guerres, en plein coeur d'un espace de paix et de détente, est rarement perçue par la majorité des habitants d'une grande ville comme sur une scène de tragédie grecque. Du quartier lointain, l'habitant n'apprend le plus souvent l'explosion de la bombe et le désastre de la mort collective que par l'écran (celui d'une télévision ou de son portable).
Voir le numéro de la revue «Esprit, 421, 01/01/2016»
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