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Le Petit mammouth / Patrick Arnoux
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Le point sur la nécessité et la difficulté à réformer le secteur de la formation professionnelle, en France, en 2013. Une filière qui représente 1,5 % du PIB soit, en importance, le deuxième budget de l'Etat, avec ses 32 milliards d'euros, devant la Défense (30 mds EUR) et l'Enseignement supérieur (25 mds EUR). La réformer est une priorité, ses dysfonctionnements étant nombreux : salariés peu impliqués, difficile accès pour ceux qui en ont le plus besoin, manque de labellisation des formations, problèmes de subvention, etc. Mais, la refonte de la vaste, complexe, opaque machinerie de la formation professionnelle va très vite se transformer en épreuve de vérité et surtout de crédibilité dans l'art de la réforme pour François Hollande.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1669, 28/06/2013»
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