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No future / Franck Bouaziz
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Réflexion, fin 2010, sur les difficultés que rencontre la jeunesse française pour accéder à l'emploi, avec un délai d'obtention du premier emploi stable à 28 ans. Les 18-25 ans sont ainsi devenus les premières variables d'ajustement lors de la crise économique. Quant aux jeunes diplômés, ils sont 25 % à souffrir de déclassement. Des difficultés que l'Etat ne parvient pas à diminuer, avec peu d'aides attribuées aux 18-25 ans. Les jeunes désirant échapper à la fatalité feront le choix de s'expatrier, les moins favorisés pouvant être plus tenté par la voie de l'illégalité ; ils sont également de plus en plus attirés par le secteur public, jugé plus sûr même s'il est moins rémunérateur. A l'avenir, la génération des jeunes nés entre 1985 et 1992 sera également confrontée aux problèmes du financement de la dette publique et des retraites. Avis d'experts qui présentent trois propositions pour redonner un avenir à cette génération.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1546, 09/12/2010»
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