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Rien ne remplace le réel : Le salon virtuel, complément plus que substitut / Audrey Sommazi
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Analyse, en février 2012, du développement fulgurant des salons virtuels en France, depuis 2009. Mais ces derniers mois, la tendance ralentit. Le problème : entreprises, prospects et clients peuvent s'y retrouver en permanence, en faisant fi des contraintes temporelles et géographiques... mais aussi du face-à-face physique que rien ne remplace. La fin de l'événement physique n'est donc pas d'actualité, et le virtuel bien pensé peut apporter de nombreux services complémentaires, avant, pendant ou après le réel. Explications et détails avec commentaires de professionnels. Entretien avec François-Gabriel Roussel, maître de conférence en sciences de l'information et de la communication à l'université de Paris Val-de-Marne : "Internet est un outil mais il ne remplace pas le réel".
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1598, 02/02/2012»
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